La luminothérapie, de quoi s’agit-il ?

Également appelée photothérapie, la luminothérapie fait partie de ce que l’on appelle médecine douce. C’est une méthode qui consiste à exposer l’organisme d’une personne à une source de lumière envoyant 2 500 lux de rayon lumineux. Cette exposition doit se faire tous les jours à raison de 30 min par séance et se fait idéalement le matin, seulement à travers une lampe de luminothérapie. Cette lampe expose ainsi la personne à un rayon lumineux artificiel à large spectre. Ce rayon imite autant que possible les spécificités de la lumière solaire et permet de résoudre les troubles causés par l’insuffisance d’exposition à la lumière du soleil chez certaines personnes. Ce type de thérapie se veut également excellent pour traiter les problèmes liés aux dérèglements de l’horloge biologique d’un individu. Par contre, il faut noter que les séances de luminothérapie ne se font pas seulement chez un spécialiste. Il est parfaitement possible de réaliser ses séances d’exposition à la lumière blanche large spectre chez soi, avec un appareil dédié, disponible à la vente au grand public. Le site www.mamaisonmasante.fr/sante donne plus de détails sur le sujet, et sur tout ce qui concerne la santé.

Les principaux bienfaits de la luminothérapie

La luminothérapie a un impact direct sur le moral et l’énergie d’une personne. En s’exposant régulièrement à une lumière large spectre, un individu réduit les risques d’être atteint de la dépression saisonnière.

Ce type de trouble psychologique se constate surtout à l’approche de l’hiver, ou lorsqu’il commence à faire froid et que la lumière extérieure diminue (en automne et en hiver). Il engendre de la fatigue chez la personne, mais aussi une perte d’appétit et un moral au plus bas. L’individu devient alors somnolent, irrité et commence à avoir des troubles sur son horloge biologique. Avec la luminothérapie, il peut avoir la dose de lumière dont il a besoin au quotidien pour se remonter le moral et réguler son rythme de vie.

Par ailleurs, la luminothérapie peut aussi apporter de la bonne humeur chez certaines personnes en bloquant la mélatonine tout en favorisant la production de sérotonine. Les sensations de somnolence seront ainsi réduites au profit de la joie de vivre. Malgré cela, la personne retrouvera une meilleure qualité de sommeil et de ce fait, évitera les sensations de fatigue. En effet, en ayant la dose de lumière à large spectre le matin, les hormones du jour de l’individu sous traitement seront mieux activées pour booster son organisme durant la journée. Ainsi le soir, il pourra dormir plus aisément sans ressentir le manque de clarté causant la dépression. Choisir la luminothérapie aide également à résoudre les problèmes engendrés par le décalage horaire et les veillées qui se prolongent sur de longues heures. Dans ce cas, la séance d’exposition de 30 min à la lumière permet de maintenir l’organisme éveillé durant le jour et de déclencher automatiquement les hormones du sommeil en fin de journée.

Enfin, c’est aussi un bon moyen pour avoir une belle peau. Les hormones étant régulées, l’individu aura plus d’énergie, se reposera mieux et ainsi, aura bonne mine à tout instant.

Courir avec des kilos en trop, est-ce recommandé ?

Il est vrai que courir peut être un excellent moyen de perdre du poids et de sculpter sa forme physique. Toutefois, les personnes en surpoids qui pratiquent la course à pied sont exposées à certains risques, surtout sur le plan physique. Il faut noter que les graisses privent une personne en proie à l’obésité d’un certain niveau d’endurance et limitent les forces au niveau de ses jambes. Ce qui peut provoquer des lésions au niveau des ligaments et affecter le rythme cardiaque. Par ailleurs, courir avec des kilos de trop crée des douleurs articulaires et lombaires pouvant impacter les muscles du bas du corps de la personne obèse. Malgré cela, le footing est recommandé, mais avec beaucoup de précautions surtout lorsque la personne obèse débute cette activité.

Courir en surpoids et en toute sécurité, nos conseils

Selon ce site spécialisé, il est tout à fait possible, pour une personne souffrant d’obésité, de faire du footing en toute tranquillité et obtenir de bons résultats. Le footing lui permet de gagner de l’endurance progressivement et de perdre du poids petit à petit. Pour cela et afin de ne pas nuire à sa santé, la personne en situation d’obésité doit d’abord connaitre ses capacités et commencer par des entraînements préparatoires (gainages, renforcement des muscles du bas du corps, pratiquer d’autres sports, etc.). Il est également important de savoir écouter son corps lorsqu’il envoie des signes de fatigue ou un écrasement des muscles.

Ensuite, pour pratiquer correctement le footing, il faut comprendre les gestes qui le différencient de la marche. En effet, la distance avec le sol et la force des frottements sont les principaux caractères du footing. C’est la reproduction parfaite des techniques qui limitent les contraintes comme les blessures. Sachez qu’en courant, l’avant-pied sert d’appui. Le pied doit toujours pivoter autour de la cheville et ce sont les mollets qui amortissent les actions. La bonne application de ces techniques requiert des exercices qui sont à pratiquer au quotidien : des bonds à faire sur place, la marche ou la course sur place ainsi que des steppers. Pour vous guider en ce sens, il est préférable de recourir aux services d’un coach sportif.

Une fois que vous maîtrisez ces différentes méthodes, commencez à courir lentement en alternant la marche et la course pendant quelques semaines. Cette alternance permet au corps de s’adapter progressivement au footing. Le but ici est d’accroître son endurance et non sa vitesse. Avec plus d’entrainement, les muscles, les os et les tendons vont commencer à s’habituer à votre nouveau rythme de coureur et vont vous permettre de courir plus longtemps et plus vite au fil du temps. Il faut toutefois faire attention, car une personne obèse doit obligatoirement consulter un médecin avant de s’initier au footing. Cela permet de diagnostiquer les possibles anomalies et les séquelles provoquées par l’obésité sur les os, le système cardiovasculaire ainsi que les articulations. Il faut alors adapter le rythme du footing en conséquence.

Qu’est-ce que la méthode TIPI ?

La Technique d’Identification des Peurs Inconscientes ou TIPI permet aux personnes qui la pratiquent de réguler des émotions de manière définitive. Mais avant d’aller plus loin, avant même de faire appel à un spécialiste de la méthode TIPI, comprenons de quoi il retourne réellement.

Bien souvent, face à des émotions qui nous font souffrir, nous avons le réflexe d’éviter les circonstances qui les favorisent. On tente aussi de les canaliser et de les gérer comme on peut. Bien souvent, on les dissimule aux autres et à nous-même. Mais dans ce réflexe de fuite, le problème reste irrésolu. En effet, les émotions indésirables restent refoulées quelque part, prêtes à exploser si certaines circonstances les stimulent de nouveau. En d’autres termes, on peut les oublier, mais on ne s’en libère pas réellement.

La méthode TIPI entre alors en jeu pour nous débarrasser définitivement de chaque émotion désagréable, négative et indésirable que l’on peut ressentir. Bien entendu, d’autres émotions apparaitront au cours de la vie. Cependant, ces dernières pourront à chaque fois être identifiées, vécues, surmontées et disparaitre au fur et à mesure au lieu de s’accumuler inconsciemment pour former un frein à notre développement personnel.

La méthode TIPI fonctionne sur tous les aspects de la vie

Peu de gens s’en rendent compte, mais les blocages qui nous empêchent d’avancer dans la vie viennent souvent d’émotions désagréables que l’on pense insignifiantes. Mais enfouies dans notre inconscient, ces émotions nous bloquent bel et bien dans de nombreux domaines. Ainsi, il faut agir sur chacune d’entre elles. Et justement, la méthode TIPI agit sur de nombreuses émotions  issues de nombreuses situations du quotidien.

D’ailleurs, la méthode permettra de travailler à la fois sur les émotions, les pensées et les comportements désagréables et négatifs. Les changements positifs qu’elle apporte se verront alors sur tous les aspects de la vie :

• La gestion des enfants
• La gestion du couple
• Les phobies
• La timidité
• L’insécurité (complexe physique, peur de manquer d’argent, etc.)
• L’anxiété
• L’angoisse
• Le stress

Au-delà des émotions relatives à la vie quotidienne, la méthode TIPI agit également sur nos pensées. Prenons par exemple les ruminations, les anticipations négatives, les souvenirs désagréables qui nous poursuivent, etc. Et enfin, le travail se fera également sur nos comportements indésirables comme l’agressivité, la fuite et l’évitement ou encore le blocage qui sont très caractéristiques d’une mauvaise gestion des émotions.

Vous trouverez sur internet diverses publications présentant la méthode TIPI et de nombreux tutoriels. Cependant, l’accompagnement d’un professionnel est fortement recommandé pour de meilleurs résultats.

Des résultats fiables et durables

Savoir réguler une émotion, c’est la reconnaître, la vivre et la régler une bonne fois pour toutes. Cette méthode nous évite de ruminer pendant des années les souvenirs d’un moment difficile de notre enfance par exemple. Et cette rumination  n’est autre qu’un blocage qui nous empêche d’avancer sereinement dans la vie. Ce genre de souvenirs douloureux restés ancrés dans notre inconscient peut être à l’origine des phobies, des compulsions de toutes sortes, des addictions, etc.

Il n’est donc absolument pas question d’oublier ou de minimiser un événement traumatisant. Au contraire, la méthode TIPI donne aux émotions négatives l’importance qu’elles méritent pour ensuite s’en débarrasser définitivement.

À lire : Les conséquences des émotions refoulées

Analyser la plaie pour mieux choisir le pansement adapté

Pour savoir le type de pansements à utiliser, il faut faire une petite observation clinique de la plaie. Il faut au préalable déterminer si on a besoin ou non d’une petite chirurgie. La nature de la plaie doit être connue. Ainsi, il faut savoir si elle est due à un traumatisme, si elle est survenue après une chirurgie ou encore si elle est d’origine chronique. Les intervenants doivent aussi analyser la profondeur et l’état même de la plaie ainsi que le lieu où elle se situe. C’est seulement après avoir passé au crible tous ces points qu’il faut choisir le pansement adéquat.

La périodicité de changement des pansements

Aujourd’hui, les avancées des recherches médicales conduisent à de nouveaux concepts tels que les pansements semi-occlusifs. La conception de ce pansement est basée sur une cicatrisation rapide en milieu aqueux. Vous n’êtes plus obligé de changer au quotidien votre pansement, car il a été conçu pour réguler cette humidité. Néanmoins, si après 15 jours de soins, l’état de la plaie n’évolue pas, il faut penser à adopter un autre traitement.

Les étapes d’évolution d’une plaie

Pour savoir si une plaie est guérie ou pas, il faut connaître les étapes essentielles de sa cicatrisation. En effet, la guérison d’une plaie qui se traduit par la présence d’une cicatrice doit passer par 3 étapes. Il s’agit de la détersion ou l’ablation des peaux dévitalisées, de la granulation ou l’irruption de peaux granulaires et l’épidermisation ou la formation d’une première cicatrice. C’est à ce moment que le patient peut s’estimer heureux car la plaie est enfin guérie.

La grossesse nécessite que vous soyez active

La grossesse n’est pas une maladie. À moins de vivre quelques complications, il n’est pas conseillé de rester alité pendant 9 mois. Si vous avez envie de faciliter votre accouchement, bouger et faire quelques exercices physiques sont importants. Cela commence dès le début de la grossesse jusqu’à la fin du dernier trimestre.

Attention aux sports tout de même

Attention tout de même aux sports que vous pratiquez. Tous ne sont pas adaptés et peuvent vous faire perdre votre bébé avant terme. Vous ne devez pas trop solliciter entre autres votre col pendant les exercices. Vous devez notamment éviter les sports comme l’équitation, le tennis, etc. Et vous ne devez pas dépasser vos capacités physiques ou trop vous fatiguer.

Quels sont les sports conseillés pour les femmes enceintes ?

Il existe entre autres des sports spécialement conseillés pour les femmes enceintes. Il y a même des coachs qui peuvent vous accompagner dans la préparation de votre corps pour l’accouchement et qui mettent en place des programmes sur mesure pour vous.

La marche par exemple est très conseillée. Il en est de même pour le vélo. L’aquagym ainsi que la Zumba sont également de bonnes idées si vous avez déjà pratiqué du sport avant la grossesse et que votre corps est habitué à des séances intensives.

Si vous aimez les programmes plus simples, moins fatigants et plus propices à la détente, le blog https://monsieurmuscle.com vous recommande le yoga. Dans les centres sportifs ou établissements de préparation à l’accouchement, l’on vous propose du yoga prénatal.

Pourquoi cette formation DPC ?

Les autorités ont mis cette formation DPC pour professionnels en place pour mieux répondre aux enjeux du système de santé français. Ensuite, ce système de formation continue est en phase avec l’évolution des exercices professionnels de ce secteur.
En tout cas, les formations DPC se divise en deux axes à savoir celui de la période 2016-2019 et celui de la période 2020-2022. Les orientations nationales sur les formations concernent en premier lieu tous les professionnels de la santé. Il existe également des orientations propres à chaque spécialité médicale. Pour en savoir plus, référez-vous au décret du 17 décembre 2015 qui détaille ces orientations nationales.
Quoi qu’il en soit, tous les médecins doivent suivre deux types d’action de formation au cours d’une période de trois ans. Ils pourront choisir parmi les actions de formation suivantes :
– Formation continue
– Gestion des risques
– Évaluation des pratiques professionnelles
Le Conseil de l’Ordre départemental est chargé de contrôler le bon suivi du programme par chaque médecin.

Où suivre une formation DPC ?

Comment se formeraient les professionnels de la santé sans des organismes spécialisés ? En réalité, tout organisme de formation peut devenir dispensateur de DPC sous certaines conditions. Premièrement, l’organisme en question doit être enregistré aux services de l’ANDPC (Agence Nationale de Développement Professionnel Continu) L’agence accorde uniquement le label aux structures répondant à quelques critères spécifiques :
– La validité des méthodes de formation
– Les compétences pédagogiques et scientifiques garanties par l’organisme
– L’absence de lien d’intérêt avec l’industrie
Pour s’inscrire à une formation DPC, le professionnel de la santé désireux d’en bénéficier doit posséder un compte sur Mondpc.fr et s’inscrire auprès d’un organisme agréé de formation DPC. À travers son compte personnel sur la plateforme Mon DPC, le bénéficiaire de la formation peut ouvrir ses droits grâce au numéro du programme concerné. À ce propos, chaque programme est pris en charge à hauteur de 1.995€ par an pour la limite de 21h de formation par médecin et également par an.
Une autre information importante, les formations DPC ne se déroulent plus exclusivement en présentiel comme ça a été le cas avant 2019. Les systèmes d’e-learning sont de plus en plus fréquemment utilisés, ce qui facilite évidemment l’accès aux différents programmes pour les professionnels de la santé qui sont en poste.
Suivre une formation DPC est une obligation légale, autant pour les médecins qui travaillent en libéral ou en milieu hospitalier. Cependant, ce dispositif a aussi beaucoup d’avantages, notamment sur la qualité des contenus des programmes. Ensuite, les professionnels ainsi formés répondent mieux aux objectifs de santé publique. Et la formation ouvre droit à une indemnité.

Qu’est-ce que la posturologie ?

La posturologie étudie les différents mécanismes qui permettent le maintien de l’équilibre du corps humain. En effet, pour se tenir debout, le corps doit faire appel à une multitude d’actions neurophysiologiques. Il doit s’orienter et s’adapter aux contraintes environnementales afin de garder une posture presque parfaite. Lorsque le système de régulation posturale du corps est déréglé, il en résulte une mauvaise contraction des muscles. Le corps dépense plus d’énergie et différents problèmes peuvent apparaître.

Qui sont les posturologues et où est-ce qu’on peut se former ?

La posturologie n’est pas une véritable branche médicale. Elle utilise encore des méthodes non conventionnelles. Malgré tout, elle peut être intégrée dans de nombreuses formations médicales. Elle peut ainsi être pratiquée par les podologues, les ostéopathes, les dentistes et même les spécialistes du sport. De manière générale, presque n’importe qui peut devenir posturologue, mais il faut avoir suivi une formation au préalable. Les universités et les instituts privés peuvent donner des formations en posturologie pour complémenter une profession qualifiante. Le CIES Formation : centre de formation en posturologie clinique à Bandol (83), fait partie de ces établissements agréés qui peuvent accueillir les apprenants souhaitant avoir les acquis nécessaires pour devenir posturologue.

Quand consulter un posturologue ?

Un posturologue peut vous aider dans de nombreuses situations. Une douleur au dos ou des douleurs sciatiques peuvent par exemple avoir un rapport avec votre posture. La posturologie peut aussi avoir une utilité en cas de troubles de l’équilibre, de fatigues chroniques, de vertiges ou de dyslexie. Consulter un posturologue ne présente aucun risque puisque le professionnel va simplement effectuer un diagnostic. Il analyse la posture de patient (l’alignement de son corps, sa perception de son environnement, etc.). Il établit ensuite son bilan et indique au patient comment résoudre son problème de posture.

Le lavement et le massage du ventre

Le lavement est l’une des solutions les plus préconisées pour traiter un problème de constipation moins important. Ce processus qui s’effectue à l’extrémité de l’ampoule rectale a pour objectif d’éliminer les selles.
Pour ce qui est du massage du ventre, cette alternative vise à stimuler le système intestinal. L’usage d’huile essentielle est recommandé pour ce traitement. Le massage doit être doux et accompagné d’une bonne respiration. Il n’est pas rare également que les médecins recommandent un suppositoire de glycérine pour atténuer les douleurs lors de l’évacuation des selles.

Les produits laxatifs

Dans le cas où ces mesures d’ hygiéno-diététiques n’arrivent pas à vous soulager, vous devez opter pour des produits laxatifs, disponibles en diverses variétés auprès des pharmacies. Leur consommation doit être en fonction de la nature de constipation dont vous souffrez. Toutefois, leur prise doit être modérée afin d’éviter les risques de maladie des laxatifs.

Les compléments alimentaires

La constipation peut être également traitée par la prise de compléments alimentaires. Certains d’entre eux sont efficaces pour améliorer le transit intestinal. Grâce aux principes actifs dont ils bénéficient, ces compléments alimentaires vont agir sur la digestion et l’évacuation. En général, il faut favoriser les compléments alimentaires à base de plantes fibreuses ou riches en mucilage. Mais, vous pouvez également opter pour des compléments contenant des probiotiques pour soigner votre constipation.

La médecine douce

Un autre moyen pour soulager une constipation est de recourir à la médecine douce. Ainsi, vous pouvez favoriser l’homéopathie ou la phytothérapie. Toutefois, pour s’assurer des résultats satisfaisants, il est vivement conseillé de demander l’avis des experts dans les domaines. L’automédication est à prohiber.

Pourquoi recourir à un coussin chauffant pour cervicale ?

Des douleurs cervicales peuvent survenir à tout moment et à tout le monde. La bonne nouvelle est qu’on peut utiliser une bouillotte chauffante pour soulager ces douleurs. Cependant si les douleurs persistent, il faudra consulter un médecin.
Ainsi, les coussins chauffants pour cervicales produisent de la chaleur. La chaleur améliore la circulation sanguine et apaise les zones ciblées notamment dans la partie supérieure du dos, au niveau de la nuque ainsi que les omoplates. Cela favorise donc l’élimination des toxines, une meilleure circulation de l’oxygène et des nutriments et la relaxation des muscles. Les coussins chauffants sont également des alliés redoutables contre le froid.

Les différents types de coussins chauffants pour cervicales

Le coussin chauffant électrique : il fonctionne avec une prise et sur secteur. La température est réglable et monte rapidement.
Le coussin chauffant au micro-ondes : Il accumule la chaleur grâce aux grains qu’il contient et chauffe après un passage au micro-ondes. Son action est limitée, sécurisée et économique. Il a la particularité de cumuler aussi le froid pour soulager les muscles.
Le coussin chauffant chimique : il fonctionne au contact de la peau et chauffe rapidement.

Comment choisir le coussin chauffant pour vos cervicales ?

Pour soulager les douleurs cervicales, la bouillotte chauffante doit remplir quelques critères :
La sécurité : concernant essentiellement les coussins de chauffage électrique, vérifier les dispositifs de sécurité notamment le thermostat et l’arrêt automatique.
La fabrication : Il existe des modèles conçus spécialement pour le cou et la nuque et des modèles polyvalents qui peuvent s’adapter à d’autres besoins.
Entretien et confort : Les coussins chauffants doivent être lavés régulièrement, il est donc préférable de choisir un modèle facile à nettoyer. Éviter les coussins trop volumineux pour le confort, la pratique et l’utilisation en cas de déplacement.
La puissance et la vitesse de chauffe : La douleur nécessite parfois un coussin qui chauffe rapidement.

Adopter un régime

Les reins atteints d’une maladie ne peuvent plus gérer les aliments riches en sodium. Donc, il faut faire attention au sel, c’est-à-dire qu’il faut éviter d’en manger plus que la quantité normale. Il faut éviter l’excès d’apport en sodium et en eau qui peut provoquer une rétention d’eau. À part le sel, le potassium est aussi difficile à diriger pour les personnes atteintes de la maladie. L’excès de potassium peut provoquer des troubles cardiaques. Limitez alors les aliments riches en potassium, tels que les légumes crus, les noix, les pommes de terre et le chocolat, les fruits secs, l’abricot, etc. Vous devez aussi limiter les protéines, c’est-à-dire qu’il faut éviter de la surcharger avec les œufs, la viande et le poisson. Il est donc recommandé de limiter les apports en protéines. Cependant, limiter l’apport en protéine ne doit pas conduire à la sous-alimentation. En tout cas, vous devez être suivi régulièrement par votre médecin.

Faire des examens

Il est nécessaire de faire des examens sanguins urinaires, et tout autre dépistage afin de voir l’évolution de la maladie dans vos reins. Votre médecin vous conseillera les doses de potassium et de sodium selon votre état. Les examens vont vous permettre de traiter la maladie sans aucun souci, et d’avoir le maintien des bonnes valeurs nutritionnelles. Le suivi de votre état est donc important pour traiter et freiner l’insuffisance rénale chronique. La suivie a aussi pour rôle de prévenir la dégradation des organes déjà atteints de la maladie, tel que les reins. Il permet aussi de contrôler et de surveiller la tension artérielle, l’hypertension et la protéinurie. La prévention des risques de certains traitements est aussi importante pour éviter les produits ainsi que les médicaments qui peuvent nuire à la santé. Il sera alors facile de ralentir l’évolution de la maladie si les conditions sont bien remplies.

L’activité physique

Faire du sport est aussi important et essentiel dans la prévention de la maladie. Cependant, il ne faut pas en abuser.