Otite: qu’est-ce que c’est ?

Votre oreille externe est constituée du pavillon et du tympan alors que l’oreille moyenne est composée de la zone après le tympan, où se trouvent les trois osselets ainsi que les organes responsables de la transmission sonore jusqu’à l’organe de l’ouïe. L’oreille interne est constituée de l’organe de l’ouïe, de la cohlée et de l’organe de l’équilibre. Si une infection touche le conduit auditif alors vous souffrez d’une otite externe. Cette pathologie touche surtout les personnes qui pratiquent la natation. L’inflammation de l’oreille moyenne touche surtout la trompe d’Eustache et du pharynx. Un liquide se forme dans le conduit auditif, que l’organisme n’arrive pas à évacuer à cause d’un oedème. L’élimination du liquide dans le conduit peut parfois être douloureuse. Cette situation provoque parfois des pertes de l’audition temporaire. L’otite peut parfois s’accompagner d’une forte fièvre.

Quelles sont les causes de l’otite

Vous pouvez contracter une otite moyenne après une rhinopharyngite. Les bactéries peuvent remonter depuis le pharynx jusqu’aux trompes d’Eustaxche. L’otite moyenne est très fréquente chez les enfants qui ont encore un organisme vierge de toute contamination par des germes extérieurs. La maladie se présente différemment chez les enfants et chez les adultes. Sur un sujet plus âgé, la pathologie peut se présenter comme un rhume sévère, dysfonction séquellaire de la trompe d’Eustache, du barotraumatisme. Une tumeur du n rhinophrarynx peut également se présenter. Plus de 60 % des otites adultes sont dues à une bactérie du nom de Haemophilus ou de Streptococcus. Celle-ci contamine l’oreille interne qui devient purulente. Dans certains cas, la personne peut souffrir d’une perforation de tympan, et le liquide traverse le conduit auditif externe. L’otite phlycténulaire grippale est souvent bénigne. Cependant, la personne peut souffrir d’une douleur intense dans l’oreille. Ce sont surtout les voyageurs en avion, les nageurs et les plongées qui en sont les victimes.

Ce sont surtout les voyageurs en avion, les nageurs et les amateurs de plongées qui sont souvent contaminés par cette pathologie. Les variations de pressions peuvent perturber l’environnement interne et externe de l’oreille. Cela favorise alors l’otite barotraumatique qui se traduit par l’inflammation du conduit auditif externe. Cette infection est très fréquente durant les périodes estivales. L’otite externe est souvent causée par une lésion du système de conduit auditif externe. Généralement, cette infection est provoquée par la présence d’un corps étranger dans l’oreille ou encore d’un eczéma. Pour les personnes d’un certain âge, l’otite externe peut être due à un zona du nerf intermédiaire de Wriseberg. Cette maladie se manifeste par le une brûlure intense de l’oreille.

Quels sont les symptômes d’une otite adulte ?

L’otite adulte se manifeste par une importante douleur dans les conduits auditifs. Les premiers signes d’alerte se manifestent surtout par la diminution de l’audition de l’oreille déjà atteinte. Une forte fièvre peut également survenir au bout de quelques jours ainsi que des maux de tête. L’otite adulte se manifeste souvent après un épisode de rhume intense, de rhinite. Ces symptômes seront ensuite confirmés par le diagnostic du médecin qu’il effectuera un diagnostic de l’intérieur de l’oreille. En cas d’otite le tympan peut devenir rouge, opaque, bombé ou même perforé.

Quand faut-il consulter ?

Dès que des douleurs intenses surviennent et que celles-ci s’accompagnent d’une forte fièvre, il est important de consulter un médecin de toute urgence pour connaître son diagnostic. Il est également important de voir un médecin si l’oreille présente des écoulements purulents et que ceux-ci s’accompagnent de fortes fièvres avec plus de 40 °C et d’importants maux de tête.

L’otite est une pathologie bénigne qui se guérit vite avec quelques traitements à bases d’antibiotiques cependant, il arrive qu’une personne déjà guérie puisse récidiver et la perte de l’audition devient plus importante et peut même devenir permanente. Le tympan se perfore également et favorise la prolifération des bactéries provoquant une méningite et une mastoïdite. En cas de complication ou d’une otite moyenne aiguë, la personne peut également rencontrer des problèmes de paralysie faciale.

La plupart des femmes savent camoufler leur autisme

Le stéréotype de genre est toujours bel et bien présent dans la société actuelle. Ainsi, il y a certaines attentes non dites que l’on requiert de chaque genre. À cause de cela, les femmes autistes sans déficience intellectuelle se conforment aux comportements attendus de la femme. Ce sont des stratégies acquises consciemment ou inconsciemment après avoir remarqué elles-mêmes que leur comportement différait de la « norme » ou par des remarques offensantes de son entourage. Plusieurs femmes autistes adultes reportent l’impression de porter un masque ou ne pas être elles-mêmes au cours d’interactions sociales.

L’autisme est masqué par des troubles associés

Les préjugés qui tournent autour de l’autisme sont également nombreux. On trouve parmi ceux-là le fait que l’autisme ne touche que les hommes. Ainsi, les professionnels de la santé mentale comme les psychiatres diagnostiquent les troubles associés comme la dépression ou l’anxiété sociale. En soi, ces diagnostics ne sont pas erronés, mais ce sont, pour la plupart des cas, des troubles qui résultent du camouflage. Les chiffres le prouvent : les diagnostics des femmes tombent 4,3 années plus tard que ceux des hommes.

Les conséquences de ce diagnostic tardif

Dans tous les cas, le sous-diagnostic des femmes autistes engendre des problèmes dans la vie ces dernières. En effet, un diagnostic donne un accès aux supports nécessaires aux personnes autistes. Sans cela elles peuvent développer des troubles graves comme ceux cités plus haut. De plus, reconnaître les besoins de toutes personnes autistes peut largement les aider à se construire une identité positive pour une vie épanouie avec les autres, mais surtout avec elles-mêmes.

Un jet d’urine faible

Consultez l’avis de ce site sur Prostalim XR, un des médicaments préconisés dans la prise en charge de ce trouble. Pour vous rassurer, il existe bel et bien des traitements médicamenteux qui freinent la progression de la maladie.
Selon les médecins spécialisés dans le domaine, le cas le plus fréquent qu’ils traitent est le jet d’urine faible. Oui, avec le temps, le jet d’urine peut s’affaiblir. Le débit va ainsi s’amoindrir au fil du temps. Il se peut aussi que l’urine se fasse par intermittence. Mais tenez compte de votre âge. Dans le cas où vous évacuez des gouttelettes d’urine involontairement vers la fin, alors que vous pensez avoir déjà fini, il se peut que vous ayez un problème de la prostate.

Le prolongement du temps de miction

Le problème de la prostate peut être détecté à temps si vous faites bien attention aux différents signes ou au moindre problème lorsque vous urinez. Pour rappel, le temps de miction est la durée de vidange de la vessie, soit environ moins d’une minute pour une urine de 300 ml. Et avec l’âge, la vessie peut prendre plus de temps à se vider, ce qui est assez normal.

Sachez tout de même que pour un jeune homme en bonne santé, le temps de miction est compris entre 25 et 30 secondes. Alors, vous devez être attentif, surtout si vous êtes encore jeune. En effet, un temps de miction au-delà 30 secondes est synonyme d’obstruction sous vésicale ayant un rapport avec l’accroissement de l’adénome prostatique.

Uriner vous demande beaucoup d’effort

Ce phénomène se manifeste généralement le matin lorsque vous avez la sensation que votre vessie est très pleine. Une fois dans la salle de bain, cela ne sort pas directement ni normalement. Et vous avez la sensation de faire plus d’effort que d’habitude pour que l’urine sorte. De plus, votre temps de miction se prolonge. Dans ce cas précis, consultez rapidement un médecin avant que cela n’empire.

Des fuites urinaires fréquentes

Une fois que la prostate commence à s’agrandir anormalement, l’urine ne s’écoule plus facilement. En effet, une partie de l’urine reste dans la vessie. Ce qui fait qu’à un certain moment, cela va former un trop-plein. La vessie a besoin d’être vidangée à tout moment. C’est pour cela qu’au moindre choc ou contraction involontaire, un homme peut faire une perte d’urine.

Ce phénomène se produit généralement pendant la période d’hiver. Vous pouvez l’expérimenter lorsque vous vous lavez les mains avec de l’eau froide. Vous le subissez lorsque vous touchez des objets froids comme la simple clé de la maison, la poignée de la porte.

Votre urine s’accompagne de sang

Un jet urinaire avec du sang est souvent d’origine prostatique. C’est relié à une forte progression de l’inflation de la prostate. Cela peut également être causé par l’apparition de vaisseaux en surface avec une augmentation du volume de l’adénome. Sachez aussi que la présence de sang dans l’urine n’est pas forcément liée à la prostate. Elle peut être causée par des polypes de la vessie. Une consultation médicale est donc nécessaire afin de trouver l’origine du saignement. Le médecin vous invitera à faire quelques analyses ou échographie des voies urinaires.

Les premiers symptômes du coronavirus

Le coronavirus se transmet par des gouttelettes d’une toux et de l’éternuement, par la salive, par contact avec des surfaces contaminées et par contact direct avec un porteur du virus. Si vous êtes infecté, voici les premiers symptômes qui vont apparaître : d’abord une fièvre à plus de 38,1°C et une toux sèche. Tous les patients malades présentent ces symptômes. D’autres peuvent aussi survenir, tels qu’une fatigue intense, des maux de tête, des douleurs musculaires, des courbatures, des frissons et un rhume. Si vous avez des doutes, consultez rapidement un médecin et si vous ne pouvez pas vous déplacer, optez pour la téléconsultation.

D’autres symptômes possibles

De nombreux patients de la Covid-19 ont aussi développé d’autres symptômes tels que l’agueusie, c’est-à-dire la perte de goût et l’anosmie, la perte d’odorat. Mais ne vous alarmez pas si vous présentez l’un ou l’autre de ces symptômes parce qu’il y a d’autres raisons qui font que vous pouvez perdre le goût ou l’odorat. Dans de rares cas, certains patients de la Covid-19 ont eu une conjonctivite et d’autres ont eu des problèmes digestifs. Des urticaires et des lésions de la peau ont également été observées chez des patients positifs au coronavirus. Si jamais vous avez ces symptômes, ne vous inquiétez pas outre mesure, mais pour avoir l’esprit tranquille, consultez votre médecin qui vous recommandera peut-être de passer un test.

Les différents types d’incontinences urinaires masculines

Plusieurs formes d’incontinence urinaire sont observées chez les hommes. La plus fréquente est l’incontinence urinaire par regorgement. La fuite urinaire est causée par une vidange partielle seulement de la vessie. Ce cas s’observe chez les personnes ayant une affection de la prostate.

On parle d’incontinence à l’effort lorsque la fuite urinaire se produit au moment d’une augmentation de la pression abdominale.

Cette dernière peut être causée par une toux, un fou rire, un éternuement… Une atteinte du sphincter urinaire suite à une chirurgie, ou, le plus souvent, due à une prostatectomie. Par ailleurs, les risques de fuite urinaire sont aussi favorisés par l’obésité chez les hommes. En effet, l’altération du plancher pelvien augmente avec l’accumulation de graisse.

Les solutions pour mieux gérer les fuites urinaires masculines

Souvent, les gens qui font une fuite urinaire ont tendance à éviter les boissons. Cependant, il est conseillé de bien s’hydrater. Les boissons irritantes comme le café sont par contre à éviter. Il est recommandé de répartir la quantité d’eau qu’il faut pendant la journée et éviter de trop boire le soir.

Il n’est pas difficile de trouver une solution adaptée aux fuites urinaires.
Suivre un traitement médicamenteux couplé avec une rééducation vésico sphinctérienne est également conseillé. On y a souvent recours après une chirurgie de la prostate. Dans un cas extrême, avoir recours à la chirurgie est aussi une solution. Il existe en effet un sphincter artificiel pour homme qu’on peut placer dans le scrotum. L’opération se fait sous anesthésie générale.

Les symptômes de la descente d’organes

Quand une femme souffre de prolapsus, au moins un de ses organes situés dans le bassin glisse dans son vagin. La paroi vaginale est alors déformée, et il arrive que l’organe pelvien concerné descende hors de la vulve. Cette descente d’organes engendre une sensation de gêne au vagin.

Quand c’est la vessie qui descend, la patiente ressent une sensation de boule au niveau de sa vulve, et son périnée semble s’alourdir. Elle a des envies fréquentes d’uriner, mais à chaque fois, sa vessie n’arrive à évacuer qu’une petite quantité d’urine, ce qui risque d’entraîner par la suite des infections urinaires. Cette descente de vessie est appelée « cystocèle ».

Quand c’est l’utérus qui descend, la sensation de boule se ressent également au niveau de la vulve. Il arrive aussi que la muqueuse s’infecte et présente quelques petits saignements. On appelle « hystérocèle » cette descente de l’utérus. En cas de descente de rectum ou « rectocèle », la patiente a des difficultés à évacuer les selles. Puis, la constipation devient permanente. La sensation de boule dans le vagin peut également faire partie des symptômes du rectocèle.

Les causes et l’évolution de la descente d’organes

Les muscles du périnée et quelques ligaments supportent les organes pelviens pour les maintenir ensemble à leur place. Leur relâchement provoque alors la descente d’organes. En général, cet incident survient avec l’âge, notamment après la ménopause. Mais il arrive aussi qu’une femme en âge de procréer soit victime de prolapsus, surtout après son accouchement ou son opération chirurgicale pelvienne.

Des fibromes au niveau de l’utérus peuvent aussi entraîner le relâchement des muscles du périnée. Certaines maladies comme la toux chronique ou la constipation fréquente sont également à l’origine de cet inconfort vaginal. En outre, les personnes obèses sont plus exposées au risque de descente d’organes.

En général, si la patiente parvient à garder son poids corporel, sa maladie reste stable. En tout cas, la gêne ressentie au niveau du vagin s’amplifie davantage au fur et à mesure que le prolapsus évolue. Vous pouvez éviter cela en utilisant un appareil conçu dans ce sens sur le site https://fr.perifit.co/pages/heal-prolapse-without-surgery. Au début de la maladie, l’organe pelvien concerné descend dans le vagin. Puis, il arrive jusqu’à la vulve. À un certain stade, la descente d’organes s’extériorise de plus en plus.

Le diagnostic et le traitement du prolapsus

Le gynécologue peut diagnostiquer le prolapsus. Il fera en même temps des demandes d’examens complémentaires servant à détecter les problèmes au niveau de la vessie et du sphincter urinaire. Les urines seront analysées pour connaître la présence ou non d’une infection urinaire. La patiente passera aussi une échographie pelvienne pour confirmer le diagnostic de prolapsus.

Au cas où une maladie, telle que la toux, l’obésité ou la constipation est à l’origine de la descente d’organes, il convient de la traiter en premier. Il faut ensuite traiter le prolapsus, en soignant les symptômes associés.

En parallèle, un petit anneau appelé « pessaire » est placé dans le vagin pour remettre en place l’organe pelvien concerné. Ensuite, il faut rééduquer le plancher pelvien. À un stade plus évolué de la descente d’organes, une intervention chirurgicale est nécessaire pour poser l’implant pelvien servant à soutenir les organes. Dans ce cas, l’opération se fait par voie abdominale.

Quelles sont les causes de la parodontopathie ?

La parodontopathie est également appelée maladie parodontale, vous pouvez en savoir plus ici. Sa principale cause est la plaque dentaire. Celle-ci est comme un enduit collant composé de déchets alimentaires tels que les acides et le sucre, de protéines salivaires ainsi que de bactéries.

Pour l’éviter, vous devez avoir une bouche saine et une bonne hygiène bucco-dentaire. De couleur blanche, cet enduit se dépose sur les gencives et les dents. La multiplication de ces bactéries engendre généralement l’épaississement de la plaque dentaire. Une fois qu’elle est calcifiée, elle forme ce qu’on entend par tartre.

À part la plaque dentaire, d’autres facteurs peuvent favoriser la maladie des gencives. Parmi eux, on peut citer :

• Le diabète ;
• La consommation de cannabis et d’alcool ;
• Le tabagisme ;
• La diminution des défenses de l’organisme ;
• Les changements hormonaux ;
• La prise de certains médicaments.

Il se peut aussi que la maladie des gencives ait pour origine les carences en vitamines et nutritionnelles, l’hérédité, les malpositions dentaires, les obturations coronaires, etc. Certaines bactéries peuvent également être à l’origine de cette maladie comme le Porphyromonas gingivalis, le streptococcus mutans.

Quels sont les différents types de parodontopathie ?

La parodontopathie se décline en plusieurs types, nécessitant chacun un soin immédiat afin de stopper sa progression.

Voici donc les types de maladie des gencives les plus connus :

• La gingivite : c’est la forme de la parodontite la plus courante. Ce sont les toxines de la plaque dentaire qui causent cette pathologie. D’une manière générale, les femmes qui prennent la pilule contraceptive, les femmes enceintes, les personnes qui souffrent de diabète non contrôlé, les personnes épileptiques, etc. présentent un risque accru de développement d’une gingivite.

• La parodontite chronique : c’est également une forme courante de la parodontopathie. D’après certaines recherches, les personnes âgées de plus de 45 ans sont généralement les plus sujets à cette maladie. Une inflammation de la gencive ainsi qu’une détérioration progressive du tissu osseux et gingival la caractérisent. Les personnes atteintes de cette pathologie semblent avoir des dents de plus en plus longues, alors qu’en réalité, ce sont les gencives qui se rétractent.

• La parodontite agressive : avec ce type de parodontopathie, l’attache gingivale se perd de manière très rapide. Il en est de même pour les tissus osseux. Pour votre information, la parodontite agressive présente les mêmes aspects que la parodontite chronique. Mais ce qui la distingue de celle-ci, c’est la rapidité de sa progression. Les personnes ayant des antécédents familiaux de cette pathologie ainsi que les fumeurs sont les sujets les plus vulnérables à la parodontite agressive.

• La gingivite ulcéro-nécrosante aiguë ou GUNA : ce type de pathologie s’aggrave de manière rapide et touche généralement les personnes atteintes du VIH, de stress chronique, de malnutrition, ou encore les personnes immunodéprimées et les fumeurs.

Les pathologies parodontales engendrent généralement des conséquences aussi bien sur votre santé générale que sur votre santé bucco-dentaire. Voilà pourquoi, il vous est conseillé de vous faire soigner auprès d’un cabinet de parodontologie le plus tôt possible.

La cirrhose, qu’est-ce que c’est ?

La cirrhose n’est pas une maladie anodine. Il s’agit d’un développement de lésions hépatiques. Une fois que la maladie commence à s’installer, ses dégâts sont irréversibles sur le foie.

À ce stade, la cirrhose n’a que deux options d’évolution : soit, elle reste stable, soit elle continue à évoluer et peut se transformer en cancer du foie.

Les principales causes de la cirrhose

Le foie est un organe indispensable du corps humain. Cependant, ses fonctions importantes l’exposent à des agressions directes qui pourraient le détruire. Même si la cirrhose peut être causée par plusieurs facteurs, nous avons identifié trois responsables extrêmement réputés provoquant cette maladie.

L’alcool

Nous le savons parfaitement, l’alcool est très dangereux pour notre santé. Généralement, les personnes qui consomment de l’alcool avec excès sont les plus propices à attraper la cirrhose. En effet, l’alcool attaque directement cet organe, ce qui le rend complètement impuissant et vulnérable.

L’infection

Le foie peut également être attaqué par des virus, notamment l’hépatite C et l’hépatite B, ce qui engendre irrémédiablement l’hépatite chronique virale. Même si nous entendons beaucoup moins parler de ces virus comme étant les causes de cette maladie, force est de constater qu’ils sont responsables de près de 25 % des cas de la cirrhose.

Le stress

Le stress, n’attaquant pas directement le foie, semble ne pas avoir sa place dans la liste des responsables de la cirrhose. Pourtant, il faut savoir que le stress génère une certaine quantité d’hormones dans notre corps qui ne sont pas forcément favorables à notre organisme. Malheureusement, le foie est l’un des premiers organes à ressentir les effets du stress lorsque cette situation n’est pas contrôlée.

Comment le stress peut-il affecter le foie ?

Lorsqu’une grande vague de stress survient durant une longue période, l’organisme est totalement chamboulé et c’est le foie qui en paie les frais le premier. Effectivement, lors d’un moment de stress intense, nous oublions généralement de prendre soin de notre corps.

Si certains peuvent devenir boulimiques, d’autres deviennent anorexiques. Dans les deux cas, cette instabilité alimentaire affecte négativement l’appareil digestif. Par conséquent, le foie devient extrêmement fragile et est plus susceptible de céder à la cirrhose.

Les bons gestes à avoir

Pour éviter de contracter la cirrhose ou de l’empirer, il existe quelques gestes qui seraient bénéfiques dans la vie du quotidien.

Contrôler le stress

Il est primordial de savoir contrôler son stress, afin de ne pas empoisonner le corps avec des hormones nocives. Selon les situations, la gestion du stress peut être particulièrement difficile. Nous recommandons fortement, dans ce cas, d’avoir recours à des professionnels pour aider à atteindre l’apaisement. Sur gerersonstress.fr, vous trouverez certainement des conseils précieux pour éloigner la maladie.

Adopter un meilleur mode de vie

La cirrhose est une maladie très grave. De ce fait, il est préférable d’adopter un bon mode de vie pour se protéger. Une alimentation saine et équilibrée sera très appréciée par l’appareil digestif. Par la même occasion, il serait préférable de s’abstenir de consommer des substances dangereuses, notamment l’alcool.